Peu ou pas utilisé, le devon est redoutable en début de saison, notamment sur les grosses truites.
On peut l'utiliser avec une canne à lancer léger, sur un canne à vairon manié ou sur une "grande canne" type manié léger 3m à 3m30 mais également avec une canne au toc.
Quand je pêche au toc, j'ai toujours 2 devons dans une de mes poches. Si je tombe sur une truite récalcitrante, si le poste "sent" la grosse, quand la matinée est bien avancée et que les truites sont devenues méfiantes, j'enleve mon bas de ligne "toc" et j'accroche un devon à l'émerillon.
Ses particularités : il rentre en rotation et devient pêchant dès son entrée dans l'eau, il est capable de fendre un courant puissant et de descendre profond jusque devant les caches, il reste très discret tout en envoyant de puissantes vibrations qui font réagir violemment les truites. Avec une canne au toc, la technique est simple : on laisse descendre sous la canne au niveau souhaité et il tourne tout seul, on peut l'animer en dandine verticale ou en le faisant remonter le courant en tirant sur le fil. En général pas besoin de ferre, la truite se pique toute seule par la brutalité de l'attaque.
L'inconvénient de ce leurre, car il en a un , c'est le vrillage. Il faut un devon de qualité qui tourne parfaitement sur son axe. On peut ajouter un émerillon roling en tête par un anneau brisé ou au bout d'un bas de ligne d'une dizaine de cm en nylon assez gros en fluorocarbone 25/100. (non la truite ne voit rien , comme avec un vrai vairon, elle est ne fixe ses yeux que sur le leurre)
On peut l'utiliser avec une canne à lancer léger, sur un canne à vairon manié ou sur une "grande canne" type manié léger 3m à 3m30 mais également avec une canne au toc.
Quand je pêche au toc, j'ai toujours 2 devons dans une de mes poches. Si je tombe sur une truite récalcitrante, si le poste "sent" la grosse, quand la matinée est bien avancée et que les truites sont devenues méfiantes, j'enleve mon bas de ligne "toc" et j'accroche un devon à l'émerillon.
Ses particularités : il rentre en rotation et devient pêchant dès son entrée dans l'eau, il est capable de fendre un courant puissant et de descendre profond jusque devant les caches, il reste très discret tout en envoyant de puissantes vibrations qui font réagir violemment les truites. Avec une canne au toc, la technique est simple : on laisse descendre sous la canne au niveau souhaité et il tourne tout seul, on peut l'animer en dandine verticale ou en le faisant remonter le courant en tirant sur le fil. En général pas besoin de ferre, la truite se pique toute seule par la brutalité de l'attaque.
L'inconvénient de ce leurre, car il en a un , c'est le vrillage. Il faut un devon de qualité qui tourne parfaitement sur son axe. On peut ajouter un émerillon roling en tête par un anneau brisé ou au bout d'un bas de ligne d'une dizaine de cm en nylon assez gros en fluorocarbone 25/100. (non la truite ne voit rien , comme avec un vrai vairon, elle est ne fixe ses yeux que sur le leurre)