Le pois chiche est une légumineuse dont les trois quarts de la
production mondiale proviennent de l’Inde, de la Turquie et de
L’Australie.
Qualité nutritive.
Valeurs nutritives pour 100 g :
Protéines…………………..19g
Lipides……………………...6g
Hydrates de carbone………60g
Fibres…………………. .…17g
Le
pois chiche, au même titre que la fève et les haricots, est une graine «
protéagineuse » cultivée pour sa richesse en protéine. Il fait partie
du nombre très réduit d’aliments qui apportent à la fois des protéines
et un grand nombre de sels minéraux ( calcium, fer, potassium et
phosphore ) jouant un rôle fondamental dans l’alimentation. Le calcium
est l’un des constituants majeurs des structures osseuses, mais il joue
aussi, avec le fer, un rôle important dans la coagulation du sang et la
contraction musculaire. Le potassium est utile à l’activité musculaire
en général. Le phosphore, en association avec le calcium, est
indispensable à la constitution du tissu osseux. Il intervient aussi
dans l’absorption et la transformation de certains nutriments.
Les
protéines du pois chiche sont dites incomplètes, car leur équilibre est
déficient en certains acides aminés ( méthionine et cystéine ), comme
c’est d’ailleurs le cas pour toutes les légumineuses. Pour assurer une
complémentation correcte en alimentation humaine et éviter l’effet
limitant des protéines, il ne faut pas hésiter à l’associer à du maïs ou
du blé. Le pois chiche, comme beaucoup de légumes secs, est très riche
en acide folique ( vitamine B9 ) contribuant au développement des
cellules. Mais l’acide folique est une vitamine hydrosoluble et très
sensible à la chaleur, ce qui implique une longue cuisson dans les
aliments qui en contiennent l’oxyde.
Le pois chiche reste une graine encore peu utilisée, à tort.
Utilisation en pêche de la carpe.
Dans
90% des cas, il suffit de le faire tremper. C’est de loin la manière la
plus simple et logique de l’utiliser, puisqu’elle correspond en fait à
l’évolution normale que subissent la plupart des graines quand elles
tombent naturellement dans l’eau. La cuisson systématique provient
surtout du fait que l’on associe notre propre culture culinaire à la
préparation des graines pour la pêche de la carpe. Son pouvoir gonflant
est très élevé ( 300% ) et sa grande faculté d’absorption prédestine le
pois chiche à être parfumé ou coloré. Bien qu’il ne soit jamais
réellement préconisé de changer l’arôme naturel d’une graine, il peut
être intéressant d’augmenter celui, relativement faible, du pois chiche
en ajoutant du sucre ou, si vous en avez, du LMPSE ( Liquid Milk Protéïn
Sweet Enhancer ) de chez Dave THORPE. Point important : l’ajout d’un
additif quelconque doit se faire juste après la cuisson, car, d’une
part, c’est à ce moment là que la pénétration est optimale et, d’autre
part, cela évite de dénaturer les substances utilisées, puisque beaucoup
résistent très mal aux températures élevées.
Toutes colorations possibles.
Changer
la couleur du pois chiche permet en revanche de l’adapter à des
conditions de pêche particulières, sans être obligé de faire appel à
d’autres graines. Et bien que l’on puisse colorer la totalité de
l’amorçage, une coloration est surtout valable pour les pois chiches
servant à l’eschage. Pendant une session ou un enduro, il suffit d’une
casserole, d’une poignée de pois chiches et de colorant à bouillettes
pour en faire un appât gagnant.
La forme assez ronde et la
densité du pois chiche permettent de le propulser relativement loin (
pour une graine ) à la fronde ou même au cobra. Et si l’on a pris soin
de ne pas le cuire, il résiste également aux lancers appuyés.
Faites germer les pois chiches.
Il
peut être aussi très avantageux d’utiliser des pois chiches germés, ce
qui leur confère un attrait supplémentaire. De plus, c’est certainement
la graine la plus facile à faire germer. Dans son célèbre Carp Fever,
Kevin MADDOCKS insistait sur l’utilité de faire bouillir les graines
germées pour stopper le processus de germination.
Cette graine
qui nous est familière par le couscous possède la grosseur, la
consistance et les qualités nutritives idéales pour notre pêche.
production mondiale proviennent de l’Inde, de la Turquie et de
L’Australie.
Qualité nutritive.
Valeurs nutritives pour 100 g :
Protéines…………………..19g
Lipides……………………...6g
Hydrates de carbone………60g
Fibres…………………. .…17g
Le
pois chiche, au même titre que la fève et les haricots, est une graine «
protéagineuse » cultivée pour sa richesse en protéine. Il fait partie
du nombre très réduit d’aliments qui apportent à la fois des protéines
et un grand nombre de sels minéraux ( calcium, fer, potassium et
phosphore ) jouant un rôle fondamental dans l’alimentation. Le calcium
est l’un des constituants majeurs des structures osseuses, mais il joue
aussi, avec le fer, un rôle important dans la coagulation du sang et la
contraction musculaire. Le potassium est utile à l’activité musculaire
en général. Le phosphore, en association avec le calcium, est
indispensable à la constitution du tissu osseux. Il intervient aussi
dans l’absorption et la transformation de certains nutriments.
Les
protéines du pois chiche sont dites incomplètes, car leur équilibre est
déficient en certains acides aminés ( méthionine et cystéine ), comme
c’est d’ailleurs le cas pour toutes les légumineuses. Pour assurer une
complémentation correcte en alimentation humaine et éviter l’effet
limitant des protéines, il ne faut pas hésiter à l’associer à du maïs ou
du blé. Le pois chiche, comme beaucoup de légumes secs, est très riche
en acide folique ( vitamine B9 ) contribuant au développement des
cellules. Mais l’acide folique est une vitamine hydrosoluble et très
sensible à la chaleur, ce qui implique une longue cuisson dans les
aliments qui en contiennent l’oxyde.
Le pois chiche reste une graine encore peu utilisée, à tort.
Utilisation en pêche de la carpe.
Dans
90% des cas, il suffit de le faire tremper. C’est de loin la manière la
plus simple et logique de l’utiliser, puisqu’elle correspond en fait à
l’évolution normale que subissent la plupart des graines quand elles
tombent naturellement dans l’eau. La cuisson systématique provient
surtout du fait que l’on associe notre propre culture culinaire à la
préparation des graines pour la pêche de la carpe. Son pouvoir gonflant
est très élevé ( 300% ) et sa grande faculté d’absorption prédestine le
pois chiche à être parfumé ou coloré. Bien qu’il ne soit jamais
réellement préconisé de changer l’arôme naturel d’une graine, il peut
être intéressant d’augmenter celui, relativement faible, du pois chiche
en ajoutant du sucre ou, si vous en avez, du LMPSE ( Liquid Milk Protéïn
Sweet Enhancer ) de chez Dave THORPE. Point important : l’ajout d’un
additif quelconque doit se faire juste après la cuisson, car, d’une
part, c’est à ce moment là que la pénétration est optimale et, d’autre
part, cela évite de dénaturer les substances utilisées, puisque beaucoup
résistent très mal aux températures élevées.
Toutes colorations possibles.
Changer
la couleur du pois chiche permet en revanche de l’adapter à des
conditions de pêche particulières, sans être obligé de faire appel à
d’autres graines. Et bien que l’on puisse colorer la totalité de
l’amorçage, une coloration est surtout valable pour les pois chiches
servant à l’eschage. Pendant une session ou un enduro, il suffit d’une
casserole, d’une poignée de pois chiches et de colorant à bouillettes
pour en faire un appât gagnant.
La forme assez ronde et la
densité du pois chiche permettent de le propulser relativement loin (
pour une graine ) à la fronde ou même au cobra. Et si l’on a pris soin
de ne pas le cuire, il résiste également aux lancers appuyés.
Faites germer les pois chiches.
Il
peut être aussi très avantageux d’utiliser des pois chiches germés, ce
qui leur confère un attrait supplémentaire. De plus, c’est certainement
la graine la plus facile à faire germer. Dans son célèbre Carp Fever,
Kevin MADDOCKS insistait sur l’utilité de faire bouillir les graines
germées pour stopper le processus de germination.
Cette graine
qui nous est familière par le couscous possède la grosseur, la
consistance et les qualités nutritives idéales pour notre pêche.