Salut les gars
*La pêche au flotteur à l'anglaise.
Cette
dernière technique, venue d'outre Manche, connaît en eau douce un succès
bien mérité puisqu'elle permet d'aller pêcher le poisson très loin là
où il se trouve avec un matériel léger et agréable, sur des lignes
sensibles.
Elle trouve une de ses utilisations potentielles dans les eaux calmes de certains espaces marins.
Elle se développera certainement en eau salée.
*La visibilité du flotteur.
Avoir un flotteur bien réglé, bien sensible est agréable, sauf quand les mouvements de la houle l'immergent sans arrêt.
En mer rares sont les espaces calmes qui permettent de lester très finement ces indicateurs de touches.
Fort
heureusement, les poissons chipoteurs, comme les mulets, ont la
courtoisie de vivre dans de tels secteurs (lagunes, estuaires, ou ports)
où il est justement possible d'affiner ses réglages.
Mais ailleurs, sur les côtes battues par la houle, ou bien encore en pleine mer?
Le sous-lestage de flotteurs aux dimensions confortables permet d'obtenir la visibilité indispensable.
Un flotteur prévu pour un lest de 60 g doit être lesté alors à 50g.
Sa partie émergée flottant plus haut sur l'eau le rend plus visible.
Par chance, en dehors de certaines espèces, les poissons marins mordent très franchement, brutalement.
L'inertie induite par le sous-lestage devient de ce fait accessoire.
Par
ailleurs, pour les pêches nocturnes ou par mauvaise visibilité existent
des flotteurs lumineux phosphorescents et d'autres munis d'une petite
pile et d'une ampoule ou encore d'une logette transparente dans laquelle
on glisse un bâtonnet lumineux (cyalumette).
Ces flotteurs lumineux de toute taille offrent d'immences perspectives de pêche aux "noctophiles" invétérés.
*La pêche au flotteur à l'anglaise.
Cette
dernière technique, venue d'outre Manche, connaît en eau douce un succès
bien mérité puisqu'elle permet d'aller pêcher le poisson très loin là
où il se trouve avec un matériel léger et agréable, sur des lignes
sensibles.
Elle trouve une de ses utilisations potentielles dans les eaux calmes de certains espaces marins.
Elle se développera certainement en eau salée.
*La visibilité du flotteur.
Avoir un flotteur bien réglé, bien sensible est agréable, sauf quand les mouvements de la houle l'immergent sans arrêt.
En mer rares sont les espaces calmes qui permettent de lester très finement ces indicateurs de touches.
Fort
heureusement, les poissons chipoteurs, comme les mulets, ont la
courtoisie de vivre dans de tels secteurs (lagunes, estuaires, ou ports)
où il est justement possible d'affiner ses réglages.
Mais ailleurs, sur les côtes battues par la houle, ou bien encore en pleine mer?
Le sous-lestage de flotteurs aux dimensions confortables permet d'obtenir la visibilité indispensable.
Un flotteur prévu pour un lest de 60 g doit être lesté alors à 50g.
Sa partie émergée flottant plus haut sur l'eau le rend plus visible.
Par chance, en dehors de certaines espèces, les poissons marins mordent très franchement, brutalement.
L'inertie induite par le sous-lestage devient de ce fait accessoire.
Par
ailleurs, pour les pêches nocturnes ou par mauvaise visibilité existent
des flotteurs lumineux phosphorescents et d'autres munis d'une petite
pile et d'une ampoule ou encore d'une logette transparente dans laquelle
on glisse un bâtonnet lumineux (cyalumette).
Ces flotteurs lumineux de toute taille offrent d'immences perspectives de pêche aux "noctophiles" invétérés.