*Le lancer des leurres légers lançables sans le vent.
Voilà du
grand art ! En effet, en général, il est nécessaire de lancer à une
distance de 30 à 40 m un leurre peu dense et possédant donc un freinage
aérodynamique considérable; ceci est presque résolu actuellement avec
les cannes en carbone ou en matériaux composites modernes.
Car la question se pose ainsi:
*Il faut une grande vitesse tangentielle en bout de canne,ce qui implique une grande longueur.
*Il faut que la canne soit suffisamment mince pour que son mouvement rapide ne soit pas entravé par le freinage de l'air.
*Il
faut que l'ensemble de la canne soit régulièrement élastique pour
emmagasiner au début du mouvement, pour son action parabolique, une
énergie importante qui propulse à grande vitesse le leurre léger en fin
de lancer.
*Il faut que, le poisson une fois ferré, la canne résiste à sa défense acharnée et puise le fatiguer par son élasticité.
Seul
les matériaux modernes cités plus haut permettent une telle perfection
dans la transmission et la démultiplication de l'énergie musculaire.
Une
querelle de clocher divise les lanceurs entre les partisans d'anneaux à
grande circulation et les tenants des petits anneaux.
Actuellement,
pour de nombreuses raisons techniques, les petits anneaux nombreux sont
préférés, cependant il est très important que leur surface soit
extêmement lisse et dure, pour qu'ils ne se laissent pas entailler par
le fil et qu'ils n'usent pa ensuite, ce même nylon.
On voit donc que,
pour lancer des petits leurres seuls (Rapala ou équivalents légers,
Rattl'n Rap, petits lançons Spid, Civelix, et bien d'autres),une canne
de carbone, de carbone-kevlar ou de matériaux composites bore de plus de
3,50 m, possédant des anneaux irréprochables, est absolument nécessaire
pour lancer là où le poisson est moins méfiant er agrandir la surface
de prospection.
Voilà du
grand art ! En effet, en général, il est nécessaire de lancer à une
distance de 30 à 40 m un leurre peu dense et possédant donc un freinage
aérodynamique considérable; ceci est presque résolu actuellement avec
les cannes en carbone ou en matériaux composites modernes.
Car la question se pose ainsi:
*Il faut une grande vitesse tangentielle en bout de canne,ce qui implique une grande longueur.
*Il faut que la canne soit suffisamment mince pour que son mouvement rapide ne soit pas entravé par le freinage de l'air.
*Il
faut que l'ensemble de la canne soit régulièrement élastique pour
emmagasiner au début du mouvement, pour son action parabolique, une
énergie importante qui propulse à grande vitesse le leurre léger en fin
de lancer.
*Il faut que, le poisson une fois ferré, la canne résiste à sa défense acharnée et puise le fatiguer par son élasticité.
Seul
les matériaux modernes cités plus haut permettent une telle perfection
dans la transmission et la démultiplication de l'énergie musculaire.
Une
querelle de clocher divise les lanceurs entre les partisans d'anneaux à
grande circulation et les tenants des petits anneaux.
Actuellement,
pour de nombreuses raisons techniques, les petits anneaux nombreux sont
préférés, cependant il est très important que leur surface soit
extêmement lisse et dure, pour qu'ils ne se laissent pas entailler par
le fil et qu'ils n'usent pa ensuite, ce même nylon.
On voit donc que,
pour lancer des petits leurres seuls (Rapala ou équivalents légers,
Rattl'n Rap, petits lançons Spid, Civelix, et bien d'autres),une canne
de carbone, de carbone-kevlar ou de matériaux composites bore de plus de
3,50 m, possédant des anneaux irréprochables, est absolument nécessaire
pour lancer là où le poisson est moins méfiant er agrandir la surface
de prospection.