La morte-saison est la période rêvée pour découvrir de nouveaux
horizons et aller explorer nos futurs "terrains de jeu", reconnaître les
accès et mises à l'eau, faire des relevés topographiques, etc.
Le
repérage prend du temps. Il faut faire des kilomètres, essayer divers
chemins et accès, etc. En hiver, c'est un motif de ballade. La
végétation nue dévoile bien les parcours et accès. Les niveaux souvent
bas et l'eau claire permettent de se faire une idée de la topographie,
et de lire les postes..
Si l'on est sérieux et méthodique, quelques travaux préparatoires s'imposent :
- visite aux détaillants du coin pour tirer les vers du nez du vendeur ou des habitués,
- consultation des documents existants (guides touristiques, dépliants fédéraux, etc.),
-
examen des cartes routières et d'état-major pour trouver les accès
possibles et les secteurs qui semblent prometteurs , tels que :
confluences, entrées de ballastière, arrivées d'eau, ouvrages, îles,
etc.
Ce simple travail d'imagination nous plonge déjà dans l'ambiance des futures parties de pêche.
Une fois sur place, bien repérer les chemins d'accès, notamment
ceux praticables par temps de pluie. Si l'on pêche en bateau, essayer de
répertorier toutes les mises à l'eau du secteur : cela permettra
d'explorer des postes éloignés les uns des autres sans faire trop de
kilomètres en navigation (gain de temps et économie de carburant).
À pied, longer la rive, noter mentalement les postes intéressants, les
points stratégiques. Si l'eau est claire, on peut distinguer les
hauts-fonds, les fosses, les obstacles immergés, etc. chose qui n'est
pas toujours possible en été quand l'eau se charge de plancton.
Si vous n'êtes pas sûr de votre mémoire, prenez des notes. Un appareil
photo numérique peut être d'une aide précieuse, car il captera le
moindre détail que votre attention ou votre mémoire auraient laissé
échapper.
De fin janvier à l'ouverture du brochet, il est ainsi possible de
repérer plusieurs parcours, et peut-être, qui sait, trouver ce fameux
"coin secret" auquel nous rêvons tous...
Dans
les lacs subissant un marnage de 10 à 20 m (retenues EDF), les bons
postes sont à sec en fin d'hiver. Avec un appareil photo numérique et un
GPS portable, il est possible de faire des relevés très précis. À la
belle saison, le GPS vous ramènera droit sur ces postes, même très loin
du bord.
horizons et aller explorer nos futurs "terrains de jeu", reconnaître les
accès et mises à l'eau, faire des relevés topographiques, etc.
Le
repérage prend du temps. Il faut faire des kilomètres, essayer divers
chemins et accès, etc. En hiver, c'est un motif de ballade. La
végétation nue dévoile bien les parcours et accès. Les niveaux souvent
bas et l'eau claire permettent de se faire une idée de la topographie,
et de lire les postes..
Si l'on est sérieux et méthodique, quelques travaux préparatoires s'imposent :
- visite aux détaillants du coin pour tirer les vers du nez du vendeur ou des habitués,
- consultation des documents existants (guides touristiques, dépliants fédéraux, etc.),
-
examen des cartes routières et d'état-major pour trouver les accès
possibles et les secteurs qui semblent prometteurs , tels que :
confluences, entrées de ballastière, arrivées d'eau, ouvrages, îles,
etc.
Ce simple travail d'imagination nous plonge déjà dans l'ambiance des futures parties de pêche.
Une fois sur place, bien repérer les chemins d'accès, notamment
ceux praticables par temps de pluie. Si l'on pêche en bateau, essayer de
répertorier toutes les mises à l'eau du secteur : cela permettra
d'explorer des postes éloignés les uns des autres sans faire trop de
kilomètres en navigation (gain de temps et économie de carburant).
À pied, longer la rive, noter mentalement les postes intéressants, les
points stratégiques. Si l'eau est claire, on peut distinguer les
hauts-fonds, les fosses, les obstacles immergés, etc. chose qui n'est
pas toujours possible en été quand l'eau se charge de plancton.
Si vous n'êtes pas sûr de votre mémoire, prenez des notes. Un appareil
photo numérique peut être d'une aide précieuse, car il captera le
moindre détail que votre attention ou votre mémoire auraient laissé
échapper.
De fin janvier à l'ouverture du brochet, il est ainsi possible de
repérer plusieurs parcours, et peut-être, qui sait, trouver ce fameux
"coin secret" auquel nous rêvons tous...
Dans
les lacs subissant un marnage de 10 à 20 m (retenues EDF), les bons
postes sont à sec en fin d'hiver. Avec un appareil photo numérique et un
GPS portable, il est possible de faire des relevés très précis. À la
belle saison, le GPS vous ramènera droit sur ces postes, même très loin
du bord.