Jerkbait
Est égale à .... "leurre qui danse".
Et
de ce fait, ces poissons nageurs ont la faculté, si on les anime
correctement, de virevolter dans tous les sens ou au contraire de danser
sur place, imitant à la perfection un poisson complétement affolé ou
blessé.
La grande majorité de ces poissons nageurs , sont de forme allongée et possèdent une bavette de petite taille.
MAIS ATTENTION
iL
éxiste actuellement des modèles à grande bavette qui, grâce à une
répartition des masses, (lestes et billes bruiteuses ) se comportent un
peu comme des jerkbaits.
Ce sont notamment les longbill minnows, qui se situent à mi chemin entre le jerkbait minnow et le crankbait.
De
tels modèles sont intéressants car ils permettent de travailler dans
des couches d'eau un peu plus profondes sans changer de méthode
d'animation.
Les long bill minnows s'utilisent de la même manière, mais à une profondeur plus conséquente.
La technique de base est simple
L'art du "jerking"
Consiste
à travailler le leurre avec la canne, en n'utilisant le moulinet que
pour récupérer le mou dans le fil après chaque tirée.
Une fois le
leurre dans l'eau, donner une brève secousse du scion et laisser
aussitôt un peu de mou. Le leurre bondit en avant. Si c'est un bon
jerkbait il roule sur lui-même lors de la secousse, puis continue sur sa
lancée en s'écartant de la trajectoire, certains modèles se mettent
carrément en travers.
Ces écarts brusques imitent bien un poisson
désorienté, et lors de la manoeuvre le leurre lance des reflets dans
toutes les directions (horizontales quand il se place en travers, et
vers le bas quand il roule sur lui-même).
Dés qu'il s'immobilise,
on récupère le mou et on enchaîne avec une nouvelle secousse, qui le
ramène brusquement dans la trajectoire avant de le laisser partir dans
une nouvelle direction.
Et ainsi de suite: secousse, relâcher, récupération, secousse, etc.
Un
bon jerkbait virevolte même sous des tirées de faible intensité, donc
si vous êtes obligé de donner des secousses très violentes pour un
résultat peu convaincant, si votre poisson nageur reste bien en ligne ou
s'arrête net dés que vous cessez de tirer, ce n'est pas un bon
jerkbait.
Varier les animations
Une fois que l'on a
compris le principe et que les gestes sont devenus automatiques, toutes
les possibilités offertes par ce type de leurres, sont possibles.
On peut jouer sur l'intensité des secousses, sur l'amplitude des tirées, et sur leur fréquence.
Quelques exemples
Des
secousses sèches, de faible amplitude et très rapprochées, donnent une
nage frénétique mais quasiment sur place, le leurre ne progressant que
très peu entre chaque tirée. Ce type d'animation, connue sous le terme
anglo-saxon de « twitching », permet d'insister près d'un poste .
Des
secousses très sèches voire violentes, de grande amplitude et plus
espacées donnent une animation très agressive, avec un leurre qui part
dans tous les sens. Pas très naturel et assez fatigant, pourtant il y a
des jours où ça marche très bien.
Des secousses plus douces,
d'amplitude moyenne, entrecoupées de pauses de une à trois secondes ou
plus, et alternant avec des récupérations lentes et rectilignes sur un
ou deux mètres, donnent une allure très convaincante de poisson à
l'agonie au bord de l'épuisement.
En combinant toutes ses variantes il y a de quoi faire.
Il
est bon de marquer des pauses fréquentes, même de courte durée, car
c'est souvent à cet instant que le poisson bondi pour s'emparer du
leurre .....
Le leurre étant à l'arrêt lors de l'attaque, la
touche est assez discrète et se traduit en général par un toc rageur ou
une tirée latérale.
Un ferrage énergique est indispensable, car avec cette méthode le poisson ne se ferre pas tout seul.
Est égale à .... "leurre qui danse".
Et
de ce fait, ces poissons nageurs ont la faculté, si on les anime
correctement, de virevolter dans tous les sens ou au contraire de danser
sur place, imitant à la perfection un poisson complétement affolé ou
blessé.
La grande majorité de ces poissons nageurs , sont de forme allongée et possèdent une bavette de petite taille.
MAIS ATTENTION
iL
éxiste actuellement des modèles à grande bavette qui, grâce à une
répartition des masses, (lestes et billes bruiteuses ) se comportent un
peu comme des jerkbaits.
Ce sont notamment les longbill minnows, qui se situent à mi chemin entre le jerkbait minnow et le crankbait.
De
tels modèles sont intéressants car ils permettent de travailler dans
des couches d'eau un peu plus profondes sans changer de méthode
d'animation.
Les long bill minnows s'utilisent de la même manière, mais à une profondeur plus conséquente.
La technique de base est simple
L'art du "jerking"
Consiste
à travailler le leurre avec la canne, en n'utilisant le moulinet que
pour récupérer le mou dans le fil après chaque tirée.
Une fois le
leurre dans l'eau, donner une brève secousse du scion et laisser
aussitôt un peu de mou. Le leurre bondit en avant. Si c'est un bon
jerkbait il roule sur lui-même lors de la secousse, puis continue sur sa
lancée en s'écartant de la trajectoire, certains modèles se mettent
carrément en travers.
Ces écarts brusques imitent bien un poisson
désorienté, et lors de la manoeuvre le leurre lance des reflets dans
toutes les directions (horizontales quand il se place en travers, et
vers le bas quand il roule sur lui-même).
Dés qu'il s'immobilise,
on récupère le mou et on enchaîne avec une nouvelle secousse, qui le
ramène brusquement dans la trajectoire avant de le laisser partir dans
une nouvelle direction.
Et ainsi de suite: secousse, relâcher, récupération, secousse, etc.
Un
bon jerkbait virevolte même sous des tirées de faible intensité, donc
si vous êtes obligé de donner des secousses très violentes pour un
résultat peu convaincant, si votre poisson nageur reste bien en ligne ou
s'arrête net dés que vous cessez de tirer, ce n'est pas un bon
jerkbait.
Varier les animations
Une fois que l'on a
compris le principe et que les gestes sont devenus automatiques, toutes
les possibilités offertes par ce type de leurres, sont possibles.
On peut jouer sur l'intensité des secousses, sur l'amplitude des tirées, et sur leur fréquence.
Quelques exemples
Des
secousses sèches, de faible amplitude et très rapprochées, donnent une
nage frénétique mais quasiment sur place, le leurre ne progressant que
très peu entre chaque tirée. Ce type d'animation, connue sous le terme
anglo-saxon de « twitching », permet d'insister près d'un poste .
Des
secousses très sèches voire violentes, de grande amplitude et plus
espacées donnent une animation très agressive, avec un leurre qui part
dans tous les sens. Pas très naturel et assez fatigant, pourtant il y a
des jours où ça marche très bien.
Des secousses plus douces,
d'amplitude moyenne, entrecoupées de pauses de une à trois secondes ou
plus, et alternant avec des récupérations lentes et rectilignes sur un
ou deux mètres, donnent une allure très convaincante de poisson à
l'agonie au bord de l'épuisement.
En combinant toutes ses variantes il y a de quoi faire.
Il
est bon de marquer des pauses fréquentes, même de courte durée, car
c'est souvent à cet instant que le poisson bondi pour s'emparer du
leurre .....
Le leurre étant à l'arrêt lors de l'attaque, la
touche est assez discrète et se traduit en général par un toc rageur ou
une tirée latérale.
Un ferrage énergique est indispensable, car avec cette méthode le poisson ne se ferre pas tout seul.