L'attaque d'un carnassier en surface est toujours un grand moment. Quand on y a goûté on ne peut plus s'en passer !
C'est
de mai à septembre que la pêche aux leurres de surface est la plus
rentable, quand les eaux sont chaudes et le poisson posté dans de
faibles profondeurs, notamment dans les secteurs riches en herbiers ou
branchages. Elle concerne le brochet, le black bass, l'aspe, le bar et
la perche.
Même
si elle n'est pas toujours la plus rentable, cette technique est à coup
sûr la plus spectaculaire et la plus passionnante. Au point que
certains s'en font une spécialité, et recherchent systématiquement les
conditions favorables à sa pratique.
Ce sont les zones peu profondes, disons jusqu'à 1m50 - 2m (ou moins),
et plutôt encombrées. En effet, quand des herbiers, des branches ou
autres couverts s'étendent jusqu'à la surface, les carnassiers sont en
confiance et se postent volontiers juste sous la surface ou entre deux
eaux. Mais bien entendu, quand les carnassiers chassent activement en
surface la pêche sera rentable sur tout type de poste.
Reste à trouver le leurre de surface capable de prospecter ces secteurs
sans trop accrocher et de les faire réagir. Certains sont conçus pour
prospecter rapidement de grandes étendues d'eau libre. C'est le cas par
exemple du stickbait (leurre bâton) et des poissons nageurs à hélice.
Ces leurres flottants sont assez bruyants (pour attirer l'attention du
poisson).
On trouve également des modèles pour prospection rapide, mais en milieu
encombré cette fois. C'est le cas notamment du buzzbait, leurre
métallique à hélice qui brasse l'eau en surface au prix d'une
récupération constante, et passe au-dessus des herbiers les plus denses.
D'autres enfin sont spécialisés dans la prospection plus lente et
insistante des trouées, et dans la pêche de précision de poissons moins
agressifs. C'est en particulier les cas du popper, qui permet de pêcher
sur place en observant des pauses.
La
pêche de surface occasionne beaucoup de ratés et de décrochages, par
maladresse du poisson... ou du pêcheur ! Il faut s'habituer à contrôler
ses émotions et ses réflexes, pour ne pas ferrer comme un fou au moment
de l'attaque, mais calmement, une ou deux secondes après, quand il
redescend.
C'est
de mai à septembre que la pêche aux leurres de surface est la plus
rentable, quand les eaux sont chaudes et le poisson posté dans de
faibles profondeurs, notamment dans les secteurs riches en herbiers ou
branchages. Elle concerne le brochet, le black bass, l'aspe, le bar et
la perche.
Même
si elle n'est pas toujours la plus rentable, cette technique est à coup
sûr la plus spectaculaire et la plus passionnante. Au point que
certains s'en font une spécialité, et recherchent systématiquement les
conditions favorables à sa pratique.
Ce sont les zones peu profondes, disons jusqu'à 1m50 - 2m (ou moins),
et plutôt encombrées. En effet, quand des herbiers, des branches ou
autres couverts s'étendent jusqu'à la surface, les carnassiers sont en
confiance et se postent volontiers juste sous la surface ou entre deux
eaux. Mais bien entendu, quand les carnassiers chassent activement en
surface la pêche sera rentable sur tout type de poste.
Reste à trouver le leurre de surface capable de prospecter ces secteurs
sans trop accrocher et de les faire réagir. Certains sont conçus pour
prospecter rapidement de grandes étendues d'eau libre. C'est le cas par
exemple du stickbait (leurre bâton) et des poissons nageurs à hélice.
Ces leurres flottants sont assez bruyants (pour attirer l'attention du
poisson).
On trouve également des modèles pour prospection rapide, mais en milieu
encombré cette fois. C'est le cas notamment du buzzbait, leurre
métallique à hélice qui brasse l'eau en surface au prix d'une
récupération constante, et passe au-dessus des herbiers les plus denses.
D'autres enfin sont spécialisés dans la prospection plus lente et
insistante des trouées, et dans la pêche de précision de poissons moins
agressifs. C'est en particulier les cas du popper, qui permet de pêcher
sur place en observant des pauses.
La
pêche de surface occasionne beaucoup de ratés et de décrochages, par
maladresse du poisson... ou du pêcheur ! Il faut s'habituer à contrôler
ses émotions et ses réflexes, pour ne pas ferrer comme un fou au moment
de l'attaque, mais calmement, une ou deux secondes après, quand il
redescend.