remarqué, qu'il a souvent des divergeances rapport aux techniques employées comment je vais pêcher aujourd'hui crinelle ou pas
En fait, tout dépend de la technique adoptée !
Dans la pratique, la dentition du sandre est loin d'être aussi impressionnante que celle du brochet.
Il
possède bien quelques gros crocs qui laissent des marques
caraactéristiques sur les vifs mais ils sont totalement incapables de
cisailler un nylon ou une tresse multibrins non armée, aussi fine
soit-elle.
Dans de telles conditions, il devient parfaitement
possible de se passer de cet avençon métallique forcément plus rigide
qu'un monofilament ou qu'une tresse du genre de celles employées pour
faire des bas de ligne à carpe.
En théorie, oui, mais en théorie seulement car d'autres aspects sont à prendre en considération.
Du 50/50;
S'il
n'y a que du sandre dans le plan d'eau où vous pratiquez
habituellement, pas de problème, laissez tomber ce bas de ligne
métallique qui ne vous apportera rien de plus.
Seulement voilà,
presque partout brochets et sandres cohabitent et même en sélectionnant
parfaitement les postes, il n'est jamais certain de savoir ce qui va
mordre.
Il est toujours râlant de perdre un joli bec et de le voir
repartir avec une monture, un leurre, ou un vif dans le fond du gosier,
tout simplement parce qu'il n'y avait pas de crinelle.
A moins de
faire délibérément ce choix et d'en assumer les risques, dès que les
chances de piquer sandres et brochets sont à 50/50, la question ne se
pose plus.
Maintenant, en fonction des techniques pratiquées, il est possible de moduler ce choix au cas par cas.
Montage au vif sur flotteur.
A
condition de privilégier les racines les plus souples, tresses armées
ou crinelles 49 brins, dans des résistances de 5 à 7 kg, le vif de 7/8
cm et plus garde une excellente mobilité.
Lorsque le sandre attaque vraiment pour se nourrir, il gobe sa proie comme une pilule sans la tuer ni la machouiller.
A
condition de ferrer immédiatement, cet avençon métallique ne gêne
absolument pas car il n'a pas le temps d'en détecter la présence.
En
revanche si après la touche vous laissez filer indéfiniment, notre
carnassier sent le piège et finit souvent par recracher et se libère.
Si
vous utilisez de petits vifs (5à 6 cm) pour tenter aussi la perche,
mieux vaut ne pas mettre de crinelle pour ne pas brider le petit
poisson.
Si un brocheton se présente, à moins qu'il ne se pique sur
le bord de la gueule, il ne vous reste plus qu'à remettre un nouveau bas
de ligne.
En fait, tout dépend de la technique adoptée !
Dans la pratique, la dentition du sandre est loin d'être aussi impressionnante que celle du brochet.
Il
possède bien quelques gros crocs qui laissent des marques
caraactéristiques sur les vifs mais ils sont totalement incapables de
cisailler un nylon ou une tresse multibrins non armée, aussi fine
soit-elle.
Dans de telles conditions, il devient parfaitement
possible de se passer de cet avençon métallique forcément plus rigide
qu'un monofilament ou qu'une tresse du genre de celles employées pour
faire des bas de ligne à carpe.
En théorie, oui, mais en théorie seulement car d'autres aspects sont à prendre en considération.
Du 50/50;
S'il
n'y a que du sandre dans le plan d'eau où vous pratiquez
habituellement, pas de problème, laissez tomber ce bas de ligne
métallique qui ne vous apportera rien de plus.
Seulement voilà,
presque partout brochets et sandres cohabitent et même en sélectionnant
parfaitement les postes, il n'est jamais certain de savoir ce qui va
mordre.
Il est toujours râlant de perdre un joli bec et de le voir
repartir avec une monture, un leurre, ou un vif dans le fond du gosier,
tout simplement parce qu'il n'y avait pas de crinelle.
A moins de
faire délibérément ce choix et d'en assumer les risques, dès que les
chances de piquer sandres et brochets sont à 50/50, la question ne se
pose plus.
Maintenant, en fonction des techniques pratiquées, il est possible de moduler ce choix au cas par cas.
Montage au vif sur flotteur.
A
condition de privilégier les racines les plus souples, tresses armées
ou crinelles 49 brins, dans des résistances de 5 à 7 kg, le vif de 7/8
cm et plus garde une excellente mobilité.
Lorsque le sandre attaque vraiment pour se nourrir, il gobe sa proie comme une pilule sans la tuer ni la machouiller.
A
condition de ferrer immédiatement, cet avençon métallique ne gêne
absolument pas car il n'a pas le temps d'en détecter la présence.
En
revanche si après la touche vous laissez filer indéfiniment, notre
carnassier sent le piège et finit souvent par recracher et se libère.
Si
vous utilisez de petits vifs (5à 6 cm) pour tenter aussi la perche,
mieux vaut ne pas mettre de crinelle pour ne pas brider le petit
poisson.
Si un brocheton se présente, à moins qu'il ne se pique sur
le bord de la gueule, il ne vous reste plus qu'à remettre un nouveau bas
de ligne.