Salut les gars :lich:
*Les bars à la cuiller.
*Les
estuaires, par leur richesse naturelle en nutriment favorisent en toute
saison la concentration de toutes sortes de poissons.
Qu'ils y soient simplement de passage ou à demeure, ce sont toujours des proies potentielles pour les loups (bars).
La
permanence de ces poissons permet de les traquer pratiquement à
longueur d'année à l'aide de leures métalliques: les cuillers.
*Où et quand pêcher.
*Nous avons largement évoqué l'endroit où pêcher.
Cependant, dans les estuaires un certain nombre de postes sont particulièrement favorables.
Les
postes qui présentent des abris naturels (piles de pont, pontons,
dessous des coques apontées, épaves immergées et bien d'autres
obstacles) hébergent toujours une colonie de loups (bars).
La
profondeur ne joue qu'un rôle accessoire, puisque les loups sont
capables de s'aventurer dans quelques décimètres d'eau, pourvu qu'ils y
trouvent des proies.
Ces espaces plus ou moins calmes, parce qu'ils
offent pas les mêmes abris qu'au large et que s'y trouvent plus souvent
un trafic et une présence humaine multiforme, font l'objet d'une
méfiance accrue de la part des poissons prédateurs.
De ce fait, il
faut y pêcher avec une plus grande discrétion et avec des montages bien
plus fins que ceux utilisés pour les eaux libres.
C'est surtout à
l'aurore, au crépuscule, ainsi que pendant les premières heures du jour
que les probabilités de prises sont les plus importantes
(remous ou giclées de poissonnets chassés en surface) on peut pêcher l'eau.
*Comme matériel: une canne à lancer catégorie saumon de 3 m d'une puissance de 15 à 60 g.
1) Nylon même du moulinet- émerillon-agrafe JB N°2- et 3 ) leurre.
*Les leurres.
*Il existe deux sortes de cuillers:les cuillères tournantes et les ondulantes.
Les premières sont les plus souvent utilisées en eau douces.
Elles retrouvent toute leur intérêt dans les eaux intermédiaires que sont les estuaires, les graus ou les lagunes.
L'avantage
de la cuiller tournante et qu'elle <<tire<< sur la ligne et
qu'il est possible,de ce fait de contrôler facilement le trajet du
ramener.
Les cuillers ondulantes prend le relais quand le courant
est trop fort ou les eaux trop profondes, son poids dépasse alors
rarement 40 g.
Selon la configuration du poste- courant faible et
eaux peu profondes ou courant fort et eaux profondes- on utilise un
leurre ou l'autre.
La couleur du leurre la plus utilisée est
l'argent (la scalétite qui recouvre certaines cuillers ressemble au
scintillement des écailles de poissons) mais rien n'empêche d'utiliser
d'autres teintes car les poissons prédateurs peuvent avoir une
préférence marquée pour une couleur particulière, le jour de pêche.
*En action de pêche.
L'approche des rives se fait dans la plus grande discrétion, afin de ne pas effrayer les carnassiers éventuels.
Les
premiers lancers sont effectués parallèlement aux rives, le pêcheur
restant en retrait en utilisant la longueur de sa canne pour cette
manoeuvre.
Puis chaque poste est exploré minutieusement avec une série de jets en éventail pour terminer l'exploitation des postes.
*En
cas d'insuccès, il faut modifier l'allure de nage des leurres en les
travaillant d'une manière irrégulière et changer leurs formes et leurs
teintes.
C'est souvent au prix de petites modifications que l'instinct de chasse des loups (ou bars) se réveille.
Lors des prises, il faut repérer d'une façon précise le lieu d'attaque.
Les loups sont en bancs et un leurre lancé au même endroit provoque d'autres prises.
Mais
il faut aussi mener le combat ailleurs en obligeant le poisson ferré a
se défendre à quelques dizaine de mètres de son poste d'affût pour ne
pas effrayer les autres poissons qui, alertés, prendraient la fuite.
Les prises dans ces eaux particulières vont des jeunes sujets à la maille aux poissons de très grosse taille.
Une épuisette est toujours indispensable.
*Les bars à la cuiller.
*Les
estuaires, par leur richesse naturelle en nutriment favorisent en toute
saison la concentration de toutes sortes de poissons.
Qu'ils y soient simplement de passage ou à demeure, ce sont toujours des proies potentielles pour les loups (bars).
La
permanence de ces poissons permet de les traquer pratiquement à
longueur d'année à l'aide de leures métalliques: les cuillers.
*Où et quand pêcher.
*Nous avons largement évoqué l'endroit où pêcher.
Cependant, dans les estuaires un certain nombre de postes sont particulièrement favorables.
Les
postes qui présentent des abris naturels (piles de pont, pontons,
dessous des coques apontées, épaves immergées et bien d'autres
obstacles) hébergent toujours une colonie de loups (bars).
La
profondeur ne joue qu'un rôle accessoire, puisque les loups sont
capables de s'aventurer dans quelques décimètres d'eau, pourvu qu'ils y
trouvent des proies.
Ces espaces plus ou moins calmes, parce qu'ils
offent pas les mêmes abris qu'au large et que s'y trouvent plus souvent
un trafic et une présence humaine multiforme, font l'objet d'une
méfiance accrue de la part des poissons prédateurs.
De ce fait, il
faut y pêcher avec une plus grande discrétion et avec des montages bien
plus fins que ceux utilisés pour les eaux libres.
C'est surtout à
l'aurore, au crépuscule, ainsi que pendant les premières heures du jour
que les probabilités de prises sont les plus importantes
(remous ou giclées de poissonnets chassés en surface) on peut pêcher l'eau.
*Comme matériel: une canne à lancer catégorie saumon de 3 m d'une puissance de 15 à 60 g.
1) Nylon même du moulinet- émerillon-agrafe JB N°2- et 3 ) leurre.
*Les leurres.
*Il existe deux sortes de cuillers:les cuillères tournantes et les ondulantes.
Les premières sont les plus souvent utilisées en eau douces.
Elles retrouvent toute leur intérêt dans les eaux intermédiaires que sont les estuaires, les graus ou les lagunes.
L'avantage
de la cuiller tournante et qu'elle <<tire<< sur la ligne et
qu'il est possible,de ce fait de contrôler facilement le trajet du
ramener.
Les cuillers ondulantes prend le relais quand le courant
est trop fort ou les eaux trop profondes, son poids dépasse alors
rarement 40 g.
Selon la configuration du poste- courant faible et
eaux peu profondes ou courant fort et eaux profondes- on utilise un
leurre ou l'autre.
La couleur du leurre la plus utilisée est
l'argent (la scalétite qui recouvre certaines cuillers ressemble au
scintillement des écailles de poissons) mais rien n'empêche d'utiliser
d'autres teintes car les poissons prédateurs peuvent avoir une
préférence marquée pour une couleur particulière, le jour de pêche.
*En action de pêche.
L'approche des rives se fait dans la plus grande discrétion, afin de ne pas effrayer les carnassiers éventuels.
Les
premiers lancers sont effectués parallèlement aux rives, le pêcheur
restant en retrait en utilisant la longueur de sa canne pour cette
manoeuvre.
Puis chaque poste est exploré minutieusement avec une série de jets en éventail pour terminer l'exploitation des postes.
*En
cas d'insuccès, il faut modifier l'allure de nage des leurres en les
travaillant d'une manière irrégulière et changer leurs formes et leurs
teintes.
C'est souvent au prix de petites modifications que l'instinct de chasse des loups (ou bars) se réveille.
Lors des prises, il faut repérer d'une façon précise le lieu d'attaque.
Les loups sont en bancs et un leurre lancé au même endroit provoque d'autres prises.
Mais
il faut aussi mener le combat ailleurs en obligeant le poisson ferré a
se défendre à quelques dizaine de mètres de son poste d'affût pour ne
pas effrayer les autres poissons qui, alertés, prendraient la fuite.
Les prises dans ces eaux particulières vont des jeunes sujets à la maille aux poissons de très grosse taille.
Une épuisette est toujours indispensable.